Réalisateurs

Ioana Uricaru

La cinéaste roumaine Ioana Uricaru a vécu l'expérience de la dictature, de la révolution, de la transition et de l'émigration. Elle a étudié le cinéma en Roumanie et aux États-Unis, après avoir obtenu un Master en biologie moléculaire. Ses films ont été sélectionnés dans plusieurs festivals : Cannes, Sundance, Berlin, Tribeca et AFI fest. Ses projets ont été développés à la Résidence de la Cinéfondation du Festival de Cannes et au Sundance Directing Lab.

Film(s) présenté(s): 

Ioanis Nuguet

Né en 1983, Ioanis Nuguet part étudier la danse et le théâtre balinais en Indonésie de 2000 à 2002. A son retour en France, il crée plusieurs spectacles à partir de cette expérience et réalise un documentaire sur la transmission au sein d'une famille d'artistes balinais. En 2010 il réalise le court métrage Exposés à disparaître. En 2011, après quatre ans passés sur des terrains rroms en Seine-Saint-Denis, il commence le tournage de Spartacus & Cassandra.

Isabelle Broué

Diplômée de la FEMIS en 1994, Isabelle Broué a notamment réalisé quatre courts et moyens-métrages dont A corps perdu présenté à la Quinzaine des Réalisateurs à Cannes en 2000, un documentaire de 52 mn, Henri Cartan, une vie de mathématicien (1995), un téléfilm pour Arte dans la collection « Petites caméras »,Paris-Deauville 2000) et un long-métrage sorti en salles en 2004 Tout le plaisir est pour moi, avec Marie Gillain, qui avait rassemblé un peu plus de 200 000 spectateurs. Lutine est son second long-métrage.

Film(s) présenté(s): 

Ivan Ostrochovský

Ivan Ostrochovský est né en 1972 en Slovaquie. Après plusieurs courts-métrages, documentaires et séries, il réalise son premier long-métrage documentaire Velvet Terrorists en 2013. Son premier long-métrage de fiction, Koza, est présenté en première mondiale au Festival de Berlin en 2015 et représente la Slovaquie dans la catégorie du meilleur film étranger aux Oscars en 2016. Les Séminaristes a été présenté en première mondiale au Festival de Berlin en février 2020 dans la section Encounters.

Film(s) présenté(s): 

Ivo M. Ferreira

Ivo M. Ferreira

Ivo M. Ferreira est né à Lisbonne en 1975. Le goût pour le cinéma lui est venu très tôt : après avoir terminé ses études en Ecole d’Art avec un diplôme en photographie et communication audiovisuelle, il suit des cours à la London Film School ainsi qu’à l’Université de Budapest. Lors d’un séjour à travers l’Asie, il rejoint Macao où il réalise et produit son premier documentaire. Il est ensuite invité par EXPO98 à réaliser un second film.

Film(s) présenté(s): 

Jacques Doillon

En 1966, Jacques Doillon travaille sur Soy Mexico et Trans Europ Express d’Alain Robbe-Grillet puis comme monteur. Il fait ses premiers pas de réalisateur avec des courts métrages dont On ne se dit pas tout entre époux sur un scénario de Gébé qui signe également celui de L’an 01. Avec Les Doigts dans la tête, le réalisateur impose son style : des acteurs amateurs et une histoire simple pour un film sur la jeunesse. La Drôlesse est un film d’une grande tendresse qui réunit deux laissés-pour-compte qui se créent leur monde loin des adultes.

Jacques Meilleurat

Jacques Meuillerat

Parce que sa pratique filmique s’inscrit à la croisée des divers schémas de l’image, sans jamais en privilégier aucun, le cinéma de Jacques Meilleurat constitue un des plus beaux questionnements d’aujourd’hui sur ce qui peut faire récit. Sa démarche persiste à troubler les trop sûres césures entre documentaire et auto-fiction pour mieux dire le lien essentiel de la solitude à l’intime.

Jacques Meilleurat

Cinéaste de longue date, Jacques Meilleurat a réalisé un premier film Manipulation spatiale avant ses vingt ans. En 1982, L'Aurige est sélectionné à la Biennale de Paris des jeunes artistes. Eléphant remporte le prix du film d'auteur du festival international du jeune cinéma d'Hyères en 1983. En 2002 et 2004, sélectionné dans la section cinéaste du présent à Locarno. En 2021 (grand prix de la compétition française) du FID 2021.

Film(s) présenté(s): 

Jaime Rosales

Jaime Rosales est né à Barcelone en 1970. Après avoir suivi des études de commerce à ESADE, il reçoit une bourse en 1996 qui constituera l’impulsion décisive à sa formation cinématographique, pour étudier le cinéma au sein de la prestigieuse École Internationale de Cinéma et Télévision de San Antonio de los Baños (EICTV) à la Havane, puis à l’Australian Film Television and Radio School (AFTRS) à Sydney. Avec sa maison de production Fresdeval Films, depuis l’année 2000, il a développé la totalité de ses projets comme réalisateur.

Film(s) présenté(s): 

James Gray

Né à New York, James Gray grandit dans le Queens et effectue ses études en cinéma à l’University of Southern Californie. Producteur, scénariste et réalisateur, il vit aujourd’hui à Los Angeles. Il s’impose dès l’âge de 2B ans avec son tout premier long métrage, Little Odessa, nommé aux Independent Spirit Awards et couronné par un Lion d’Argent à la Mostra de Venise et le prix de la Critique au festival du cinéma americain de Deauville.

Film(s) présenté(s): 

Jan P. Matuszynski

Né en Pologne en 1984, Jan P. Matuszynski est diplômé en Réalisation de la Krzysztof-Kieslowski Faculty of Radio and Television de l’université de Silésie de Katowice. Il suit également le cursus documentaire de la Wajda School de Varsovie. The Last Family est son premier long métrage de fiction. Il vaut le Prix d’interprétation masculine à Andrzej Seweryn au Festival de Locarno 2016.

Film(s) présenté(s): 

Jean Grémillon

Jean Grémillon étudie la musique à la Schola Cantorum. Il joue du violon dans la fosse d'orchestre d'un cinéma de boulevard et fait la connaissance du projectionniste, Georges Périnal. Les deux hommes réalisent un documentaire sur Chartres en 1923. Suivent plus de vingt courts-métrages documentaires. En 1927, Jean Grémillon réalise son premier long-métrage, Maldone. L'arrivée du parlant correspond à une traversée du désert. On le retrouve en Espagne au côté de Luis Buñuel puis à Berlin où il tourne son premier succès, Gueule d'amour.

Jean Pierre Améris

Né en 1961 à Lyon, Jean-Pierre Améris suit les cours de l’IDHEC à Paris puis réalise des courts métrages dont Intérim, qui recevra le Grand Prix du festival de Clermont-Ferrand en 1988. Son premier long métrage, Le Bateau de mariage (1992) est sélectionné dans plusieurs festivals internationaux et obtient le Prix de la jeunesse au Festival de Tübingen. Il alterne ensuite fictions et documentaires, avant de livrer Les Aveux de l’innocent, primé plusieurs fois au festival de Cannes en 1996 : Prix de la Semaine de la critique, Prix de la Jeunesse et Grand Rail d’or.

Jean-Claude Brisseau

Longtemps, Jean-Claude Brisseau réalise des films tout en enseignant le français dans un collège de la région parisienne.

Vers le milieu des années 1970, il achète une caméra Super 8 sonore, et réalise, pendant ses congés La Croisée des chemins. Le film est vu par Maurice Pialat et par Éric Rohmer.

Grâce à ce dernier, Brisseau obtient le soutien de l’INA, qui produit ses premiers films, La Vie comme ça, puis Un jeu brutal.

Jean-François Laguionie

Auteur de neuf courts métrages et cinq longs métrages, Jean-François Laguionie est l'un des plus grands cinéastes de films d'animation en France. Il remporte le Grand Prix du Festival d’Annecy dès 1965, avec son premier court métrage, La Demoiselle et le Violoncelliste. On y retrouve déjà son goût pour l'océan, la nature et la musique, qui rythmeront tous ses films, à l’instar de son court métrage La Traversée de l’Atlantique à la rame  qui obtient la Palme d’or à Cannes en 1978 et le César du film d’animation.

Jean-Gabriel Tregoat, Penda Houzangbe

Né en 1977, Jean-Gabriel Tregoat fait des études d’Histoire à Toulouse, puis émigre en Angleterre où il entame des études de chef opérateur qu’il poursuit à Cuba. Il participe à plusieurs courts et moyens-métrages à divers postes, notamment à l’image.

Née en 1979, Penda Houzangbe grandit à Lomé, au Togo. Elle suit des études de cinéma en France puis à Cuba. Après avoir réalisé quelques courts-métrages, elle travaille principalement comme monteuse sur des fictions et des documentaires.

Film(s) présenté(s): 

Jean-Luc Godard

Jean-Luc  Godard. De nationalité française. Né le 3 décembre 1930 à Paris. Il est entre autres l’auteur de A Bout De Souffle (1960), Le Mépris (1965), Alphaville(1965) et Film Socialisme (2010).

Film(s) présenté(s): 

Jean-Luc Léon

Jean-Luc Léon est né à Paris en 1950. Opérateur puis directeur de la photographie dès 1971, il réalise des films documentaires et de fiction depuis 1980. Un vrai faussaire est son premier long métrage qui sortira en salles.

Film(s) présenté(s): 

Jean-Paul Civeyrac

Né en 1964, Jean Paul Civeyrac suit des études de philosophie à l'Université de Lyon III de 1982 à 1986 et présente un mémoire de maîtrise sur le film opéra. Entre 1987 et 1991, durant ses études à La Fémis, il réalise La Vie selon Luc, grand prix international de Munich, sélectionné à Cannes et dans de nombreux festivals. En 1992, il met en scène "Les Somnanbules", pièce de Pierre Erwan Guillaume au théâtre Marie Stuart à Paris.

Film(s) présenté(s): 

Jean-Pierre Améris

Né en 1961 à Lyon, Jean-Pierre Améris suit les cours de l’IDHEC à Paris puis réalise des courts métrages dont Intérim, qui recevra le Grand Prix du festival de Clermont-Ferrand en 1988. Son premier long métrage, Le Bateau de mariage (1992) est sélectionné dans plusieurs festivals internationaux et obtient le Prix de la jeunesse au Festival de Tübingen. Il alterne ensuite fictions et documentaires, avant de livrer Les Aveux de l'innocent, primé plusieurs fois au festival de Cannes en 1996 : Prix de la Semaine de la critique, Prix de la Jeunesse et Grand Rail d'or.

Film(s) présenté(s): 

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