Pablo Berger débuta sa carrière de réalisateur grâce à son premier court-métrage Mama (1988) qui fut couronné de prix et devint culte. Il étudia ensuite à l’Université de New York et en sortit diplômé d’un Master de Réalisation. Son court-métrage de fin d’études, Thruth and Beauty fut nommé aux Emmy Awards. Son premier long-métrage, Torremolinos 73 (2003), une coproduction hispano-danoise, a reçu de nombreux prix nationaux et internationaux
Pablo Berger est Chevalier des Arts et des Lettres et membre de l’Académie d’Hollywood.
DOG, vit à Manhattan et la solitude lui pèse. Un jour, il décide de construire un robot
et ils deviennent alors les meilleurs amis du monde ! Par une nuit d’été, DOG, avec grande tristesse, est obligé d’abandonner ROBOT sur la plage. Se reverront-ils un jour ?
Mon ami Robot est le premier film d’animation du réalisateur multi récompensé Pablo Berger (Blancanieves).
Une histoire sur l’amitié, son importance et sa fragilité.
Liana a grandi dans la capitale libanaise, Renaud dans la campagne française. Élevés au début des années 2000 par les films de leur vidéo-club respectif, ils se rencontrent à Paris en 2007.
A la fin de leurs études, ils achètent une caméra Aaton Super 16mm et s'installent à Beyrouth. Suivront des essais et des courts, écrits et réalisés à quatre mains entre les deux pays.
Par une nuit de pleine lune, la jeune Najwa et le musicien Mansour se rendent à Beyrouth. Ils suivent la piste des passeurs pour rejoindre une femme de l’autre côté de la mer.
À quelques rues de là, Selim, le gardien de l’ancien phare, tente de réparer l’électricité de son quartier.
Aden, sud du Yémen. Isra'a et Ahmed mettent tout en œuvre pour offrir une vie normale et une éducation à leurs trois jeunes enfants. Lorsqu'ils apprennent qu'Isra'a est à nouveau enceinte, ils doivent prendre des décisions difficiles guidées uniquement par l'intérêt de leur famille.
Née en 1981, Mona Achache étudie la littérature et le théâtre avant de commencer au cinéma comme assistante à la mise en scène. Ses débuts derrière la caméra coïncident avec un documentaire sur son expérience de la maternité, puis elle poursuit sa carrière de réalisatrice en passant à la fiction
À la mort de sa mère, Mona Achache découvre des milliers de photos, de lettres et d’enregistrements, mais ces secrets enfouis résistent à l’énigme de sa disparition. Alors par la puissance du cinéma et la grâce de l’incarnation, elle décide de la ressusciter pour rejouer sa vie et la comprendre.
Lillah Halla est une réalisatrice brésilienne diplômée de l’école EICTV de Cuba. Son court métrage Menarca (2020) est l’un des dix films en compétition à la Semaine de la Critique et est diffusé par Canal+ et MUBI. Menarca remporte les prix des Festivals de films de Tirana (2021), Toulouse (2021), du Kurzfilmtage Winterthur (2020) et du Curta Cinema (2020). Levante (2023) est son premier long métrage.
Sofia, une prometteuse joueuse de volleyball de 17 ans, apprend qu’elle est enceinte la veille d’un championnat qui peut sceller son destin. Ne voulant pas de cette grossesse, elle cherche à se faire avorter illégalement et se retrouve la cible d’un groupe fondamentaliste bien décidé à l’en empêcher à tout prix. Mais ni Sofia ni ses proches n’ont l’intention de se soumettre à l’aveugle ferveur de la masse.
Né en 1986 à Genève, Maxime Rappaz a travaillé dans le monde de la mode avant de se tourner vers le cinéma. En 2016, il obtient un master en cinéma et scénario (HEAD/ ECAL) puis réalise les courts métrages L’été et Tendredde. Son premier long-métrage Laissez-moi, avec Jeanne Balibar en tête d’affiche, sortira courant 2023. Maxime Rappaz poursuit actuellement l’écriture de son deuxième long métrage.
Claudine consacre toute sa vie à son fils. Toutefois, chaque mardi, elle s’offre une plage de liberté et se rend dans un hôtel de montagne pour y fréquenter des hommes de passage. Lorsque l’un d’eux décide de prolonger son séjour pour elle, Claudine en voit son quotidien bouleversé et se surprend à rêver à une autre vie.
Adrien Cotonat est né à Rodez en 1991. Il obtient la double nationalité franco-sénégalaise en 2020. Parti au Sénégal en 2011, dans le cadre d’un tournage il rencontre Ousmane Masseck Ndiaye, ministre du Tourisme, qui l’engage en tant que réalisateur pour “ La Chaîne Sénégalaise” et lui en confie la direction en 2013. Retour en France en 2016.
“Ces femmes !” se dit en wolof “Jigeen Ni”. C’est le nom que cinq jeunes femmes sénégalaises ont choisi de donner à leur orchestre 100% féminin. De la pratique de la musique, elles disent puiser une joie profonde, une énergie vitale, une liberté d’être qu’elles veulent transmettre. Et malgré les difficultés qu’elles doivent surmonter pour faire entrer cette pratique artistique dans leur vie quotidienne, malgré des préjugés auxquels elles sont confrontées, elles affirment ne pas être prêtes à abandonner !
Jordanie, de nos jours. Après la mort soudaine de son mari, Nawal, 30 ans, doit se battre pour sa part d’héritage, afin de sauver sa fille et sa maison, dans une société où avoir un fils changerait la donne.
Paloma Sermon-Daï est née à Namur en Belgique en 1993. Elle est diplômée en image à la Haute École libre de Bruxelles. Son film de fin d’études Makenzy est sélectionné à Visions du Réel en 2017.
Sous un soleil caniculaire, Purdey, dix-sept ans, et son frère Makenzy, quinze ans, sont livrés à eux-mêmes et tentent de se débrouiller seuls. Alors que Purdey fait des ménages dans un complexe hôtelier, Makenzy se fait un peu d’argent en volant des touristes. Entre l’insouciance de l’adolescence et l’âpreté de la vie adulte, ils devront se soutenir l’un l’autre dans ce voyage d’une douceur déchirante, qui semble bien être le dernier été de leur jeunesse.
Anaïs Tellenne est scénariste, réalisatrice et comédienne. En 2016, elle écrit et réalise son premier court-métrage 19 juin. Lors du casting de ce film, elle rencontre Raphaël Thiéry à qui elle confie le rôle principal de son deuxième court-métrage Le mal bleu (Arte) co-réalisé avec Zoran Boukherma. Après avoir tourné son dernier court, Modern Jazz (France 2), elle entre à la Sélection Annuelle du Groupe Ouest où elle développe le scénario de L’homme d’argile son premier long-métrage.
Raphaël n’a qu’un œil. Il est le gardien d’un manoir dans lequel plus personne ne vit. A presque 60 ans, il habite avec sa mère un petit pavillon situé à l’entrée du grand domaine bourgeois. Entre la chasse aux taupes, la cornemuse et les tours dans la Kangoo de la postière, les jours se suivent et se ressemblent. Par une nuit d’orage, Garance, l’héritière, revient dans la demeure familiale. Plus rien ne sera plus pareil.
João Salaviza (né en 1984) a fait ses études à l’école supérieure de théâtre et de cinéma de Lisbonne et à l’Universidad del Cine de Buenos Aires. Son premier long-métrage, Montanha, un adolescent à Lisbonne, a fait ses débuts en 2015 au Festival du Film de Venise. En 2018, il présente au Festival de Cannes Le Chant de la Forêt (Prix spécial du jury- Un Certain Regard), co-réalisé avec Renée Nader Messora (née en 1979). Elle est titulaire d’un diplôme en technique cinématographique de l’Universidad del Cine de Buenos Aires.