Du jour au lendemain, Vincent est agressé à plusieurs reprises et sans raison par des gens qui tentent de le tuer. Son existence d’homme sans histoires en est bouleversée et, quand le phénomène s’amplifie, il n’a d’autre choix que de fuir et de changer son mode de vie.
Héléna Klotz a grandi en banlieue parisienne. Elle débute sa carrière au théâtre de Chaillot comme créatrice sonore. En 2012, elle tourne L’âge atomique qui obtient le prix FRIPESCI au festival de Berlin et le prix Jean Vigo, puis voyage dans plus de cinquante festivals dans le monde. En 2013, elle est membre du Jury de la caméra d’or au Festival de Cannes. En 2014, elle fait la direction artistique de Dheepan de Jacques Audiard qui reçoit la Palme d’or. En 2016, elle réalise plusieurs clips dont un pour Philippe Katerine.
Jeanne a 24 ans. Elle vit dans une caserne en banlieue avec son père gendarme, son petit frère et sa petite sœur. Elle a fait le pari de réussir sa vie dans le monde de la finance. Pas pour la gloire ou le luxe, mais parce que c’est le moyen qu’elle a trouvé pour gagner sa liberté.
Né à Bucarest en 1982, Andrei Tãnase y intègre l'Université nationale d'art dramatique et cinématographique (UNATC) où il réalise et écrit plusieurs films, parmi lesquels Myriapod et Love Forever. Il travaille ensuite quelques temps à la télévision roumaine, avant d'être amené à prendre part à divers projets de cinéma et à des ateliers d'écriture. Claudiu & the Fish, son premier court-métrage produit, a été présenté à Premiers Plans en 2014. Tigru est son premier long-métrage.
Vétérinaire dans un zoo, Vera s'occupe de sa nouvelle pensionnaire, une magnifique femelle tigre. Un soir, alors qu'elle se remet à peine de la perte d'un bébé, elle surprend son mari en plein adultère. Déboussolée, Vera omet de refermer la cage du fauve, qui s’enfuit. Le lendemain, la jeune femme prend la tête d'une expédition improbable pour retrouver l’animal.
Amanda Nell Eu est diplômée de la London Film School. Elle a réalisé deux court-métrages au Royaume-Uni et en Malaisie. It’s Easier to Raise Cattle a été présenté au Festival de Venise en 2017, puis a remporté une mention spéciale au festival du court-métrage de Clermont-Ferrand. Amanda a participé au Berlinale Talent Campus et à la Locarno Filmmakers Academy.
Zaffan, 12 ans, vit dans une petite communauté rurale en Malaisie. En pleine puberté, elle réalise que son corps se transforme à une vitesse inquiétante. Ses amies se détournent d’elle lorsqu'une crise d'hystérie collective frappe l’école. La peur se répand et un médecin intervient pour chasser le démon qui hante les filles. Comme un tigre harcelé et délogé de son habitat, Zaffan décide de révéler sa vraie nature, sa fureur, sa rage et sa beauté.
Le réalisateur Rolf de Heer né en 1951 au Pays Bas avant d'émigrer avec sa famille en Australie à l'âge de 8 ans. Il réalise des longs métrages depuis plus trente ans.
BlackWoman est abandonnée dans une cage en plein désert. Mais elle n’est pas prête à se laisser mourir. Elle réussit à s’échapper, affronte la peste et la persécution, traverse le désert et la montagne pour arriver en ville, où elle est confrontée… à un monde de servitude.
Le scénariste et réalisateur états-unien Weston Razooli est un cinéaste primé basé à Los Angeles. Ses films contiennent des univers singuliers, du gonzo jubilatoire de ses courts métrages policiers au style années 90 à la terre mythique d’Anaxia. Peu importe le décor, ses films sont des décharges de cinéma pur ; à la fois familiers, mais avec un sentiment de jamais vu. » — Semaine.com
Il était une fois un trio d’enfants cherchant à craquer le code parental de leur nouvelle console et aussi la parfaite recette de la blueberry pie, une secte de braconniers qui ne cessent de se chicaner, une petite fille qui a des dons elfiques… Un premier long métrage dont le budget est aussi lilliputien que sont géantes sa sophistication formelle et sa liberté épique. Comme si, dans une forêt enchantée du Wyoming, Tom Sawyer, le Club des cinq et les Goonies s’étaient donné rendez-vous pour faire un jeu de plateau autour d’un feu de camp.
Ricardo et la peinture est le portrait que nous propose Barbet Schroeder de son ami Ricardo Cavallo, qui consacre sa vie à la peinture. De Buenos Aires au Finistère, en passant par Paris et le Pérou, ce film est une invitation à plonger dans l’histoire de la peinture, mais aussi à découvrir la vie de cet homme exceptionnel qui, avec simplicité et humilité, s’est toujours engagé entièrement, jusqu’à transmettre sa passion aux enfants de son village.
Né à Tunis, il réalise ses premiers courts-métrages dès l’enfance. C’est Zoé la boxeuse qui le fait remarquer. En 1995, il réalise ses deux premiers longs-métrages, Pigalle, en compétition au Festival de Venise, et Bye-bye, sélectionné dans la section Un Certain Regard à Cannes et couronné du prix de la jeunesse. En 1999, il tourne Cuba Féliz, sélectionné à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes. En 2003, Fureur est en sélection au Festival de Berlin. En 2007, Khamsa est sélectionné à Locarno.
A l’hôpital de la Timone, à Marseille, dans le service de réanimation pédiatrique, Sélim, 3 mois, attend une transplantation cardiaque et Luna, 9 mois, une greffe de foie. Dans le quotidien de leurs parents, la peur et la peine côtoient la joie et l’espoir. Ils luttent jour et nuit, portés par leur amour et leur courage, épaulés par une équipe médicale dévouée, pour ramener leurs enfants à une vie normale.
La scénariste et réalisatrice Victoria Musiedlak a étudié la littérature contemporaine et l’écriture scénaristique à la Sorbonne à Paris avant d’intégrer le monde du cinéma. Elle a travaillé pendant sept ans en tant que première assistante réalisatrice sur de nombreux courts-métrages (Les Meutes, Demain peut-être, etc...) et séries TV (Fais pas ci, fais pas ça, Falco, Profilage, etc...).
Ses projets traitent souvent des liens familiaux, Une heure ou une nuit (OCS), ou encore Maman (Canal+ 2016) avec Judith Chemla.
Jeune avocate fraichement diplômée, Nora a l’impression de n’avoir rien vécu lorsqu’elle est propulsée dans sa première affaire pénale. De sa première garde à vue au suivi de l’instruction, Nora découvre la cruauté du monde qui l’entoure, dans sa vie intime comme professionnelle. Emportée par la frénésie de sa nouvelle vie, elle multiplie les erreurs et en vient à questionner ses choix.
Hirayama travaille à l’entretien des toilettes publiques de Tokyo et semble se satisfaire d’une vie simple. En dehors de sa routine quotidienne très structurée, il s’adonne à sa passion pour la musique et les livres. Il aime les arbres, et les prend en photo. Une série de rencontres inattendues révèlent peu à peu son passé. Une réflexion profondément émouvante et poétique sur la recherche de la beauté dans le monde quotidien qui nous entoure.
Sana Na N’Hada est né en Guinée-Bissau en 1950. Envoyé à Cuba par le leader révolutionnaire Amilcar Cabral avec quatre autres apprentis cinéastes, il étudie à l’Institut Cubain des Arts et Industries Cinématographiques. A son retour en Guinée, il filme la guerre d’indépendance.
Guinée-Bissau, 1969. Une guerre violente oppose l’armée coloniale portugaise aux guérilleros du Parti Africain pour l'Indépendance de la Guinée et du Cap Vert. NOME quitte son village et rejoint le maquis. Après des années, il rentrera en héros. Mais la liesse laissera bientôt la place à l’amertume et au cynisme.
Le comportement du jeune Minato est de plus en plus préoccupant. Sa mère, qui l’élève seule depuis la mort de son époux, décide de confronter l’équipe éducative de l’école de son fils. Tout semble désigner le professeur de Minato comme responsable des problèmes rencontrés par le jeune garçon. Mais au fur et à mesure que l’histoire se déroule à travers les yeux de la mère, du professeur et de l’enfant, la vérité se révèle bien plus complexe et nuancée que ce que chacun avait anticipé au départ...