Printemps 2011, Jean-François Sivadier met en scène La Traviata à Aix-en-Provence, Louis Langrée dirige le London Symphony Orchestra, Natalie Dessay est Violetta. Pendant deux mois, des salles de répétitions aux coulisses du Théâtre de l’Archevêché, une équipe de cinéma a suivi leur travail au plus près. Comment devient-on La Traviata ? Comment l’histoire nous apparaît sur un plateau de théâtre ?
Comment l’émotion renaît-elle sous la baguette du chef, entre les rangs de l’orchestre et du chœur ?
Une artiste débarque en Grèce, avec ses fils, pour jouer une pièce de théâtre. Faute d'argent, la pièce est annulée mais elle décide de rester afin de la monter coûte que coûte. En désaccord, ses fils s'éloignent progressivement d'elle et l'arrivée de la crise financière ne va rien arranger...
Aya et Louis se sont aimés, ont eu une fille ensemble et se sont séparés. Chacun a refait sa vie de son coté...
Mais il y a des histoires qui ne s’oublient pas facilement.
Violeta Parra, chanteuse, poète et peintre, est une véritable icône de la culture chilienne. Violeta retrace le destin d’une femme hors du commun, ses succès et sa déchéance. De son enfance aux côtés d’un père alcoolique, en passant par son apprentissage de la guitare, son rapport brutal et déterminé à la maternité et au monde, ses engagements esthétiques et politiques, jusqu’à sa fin tragique.