« En découvrant les travaux de Charcot, j’ai été immédiatement fascinée. A l’hôpital de la Salpêtrière, dans cette Cité des femmes, des milliers de malades étaient soumises à l’autorité de quelques médecins. Des femmes quasi nues, abandonnées aux regards d’hommes en costumes trois pièces…Augustine, en tant qu’égérie de Charcot, était la star de ses études, la plus photographiée, la plus observée, jusqu’au jour où elle s’est enfuie de la Salpêtrière déguisée en homme.